A PROPOS...
Jean-François Galey-Sand - Né le 29 Octobre 1948
1967 à 1968 : Travaille la photographie / Assistant photographe
1969 -1972 : Atelier de la Grande Chaumière. Beaux Arts
Atelier Henri Goetz Dessin-Gravure - Peinture / Paris Montparnasse.
Expositions de Groupe
1980 : Exposition de groupe ( Julien Minguez, Reimpré, Galey-Sand ) Galerie CLR Paris
1981 : Exposition de groupe ( Cote , Barthez, Galey-Sand ) Galerie Regard- Paris
1982 : Exposition de groupe ( Jean Pierre Hinck, C. Viollet, Galey-Sand)
Galerie Françoise Palluel-Paris Beaubourg
1983 : Exposition de groupe Galerie Golon (St Paul de vence)
1984 : Exposition de groupe Galerie Françoise Palluel-Paris Beaubourg
1986 : Exposition de Groupe Galerie Françoise Palluel-Paris Beaubourg.
Expositions Personnelles
1973 : Exposition Personnelle Galerie Michel Ange- Monaco
1973 : Exposition Personnelle Galerie Knut Gunther – Paris Les Halles Beaubourg
1974 : Exposition Personnelle Galerie Cavalier - Bruxelles
1974 : Exposition Personnelle Galerie Françoise Carel-Paris
1978 : Exposition Personnelle Galerie Catherine Jourde
1981 : Exposition Personnelle Galerie Catherine Jourde-Paris
1984: Exposition Personnelle Galerie Françoise Palluel-Paris Beaubourg
1986: Exposition Personnelle Galerie Françoise Palluel-Paris Beaubourg
1988: Exposition Personnelle Galerie Françoise Palluel-Paris Beaubourg
1989 : FIAC / Galerie Francoise Palluel
Mars 2018 : Exposition Personnelle Galerie Rouan - Paris
Mars 2019 : Maggie's Secret Garden Party Auction - Londres.UK
Juillet 2021 : Exposition personnelle Galerie de la Ville - Houlgate
Octobre 2021 : Exposition Hotel de Maleville - Sarlat
Juillet 2022 : Exposition personnelle Galerie de la Ville - Houlgate
Juillet 2022: Représenté à Paris par la Galerie Cécile Dufay
28/01-15/03/2023 : Exposition Galerie Cecile Dufay
Avril 2023 : Représenté à Paris par Lou Carter Gallery
7/09 - 21 /10 2023 : "Soft Talk Exhibition" - Lou Carter Gallery Paris
SALONS
1984 : Mac 2000 (Grand Palais. Paris.)
1986 : Salon Grands et jeunes d’Aujourd’hui (Grand Palais-Paris)
1989: FIAC / Peintre de la Galerie Françoise Palluel
CONCOURS
1984 : Sélection au concours d’admission à la villa d’Este (Rome).
BIENNALES
1973 : Exposition Prospectives –Rétrospectives Les Halles Beaubourg
1974 : Biennale de Bruxelles ( Galerie Cavalier - Bruxelles)
THEATRE
1975 : Décors pour « Mea Culpa « d’Eric Nonn au Théâtre du Ranelagh Paris
1979 : Projet de décors pour le Caligula de Camus. Mise en scène Eric Nonn et
Rufus- (TBB Boulogne Billancourt )
Presse /Textes
Jean-François Galey Sand peint un passé qui ne passe pas, avec une élégance surannée et un esprit fin et souvent taquin, et infiniment de sensualité. Ce passé douloureux dont on caresse chaque jour secrètement la blessure inguérissable, qu’on aime à sa juste valeur car elle fait survivre une part de ce qui a été, ou le plus souvent, de ce qui aurait pu advenir si les êtres n’étaient pas si fuyants et résolus à gâcher leur vie. Bien sûr ces choses-là sont tues, parfois pour toujours. Mais leur force noire imprègne le quotidien comme un négatif photographique superposé sur des scènes supposément gaies et colorées. Mais ce n’est pas triste. Plutôt stoïque : aucun espoir, pour ne plus souffrir, parce que c’est terminé de toute façon, irrécupérable et accepté comme tel. On ne sait pas si la Beauté sauvera le monde, mais Jean-François Galey Sand a décidé qu’elle sauvera le sien. Tel qu’il est. Et cette lucidité est belle, en soi.
Jeune artiste il fut abstrait, présenté dès 1986 à la Fiac. Un passage obligé. Mais son cœur était ailleurs, dans la pénombre des Musées des Beaux-Arts où la peinture ancienne jetait ses feux éteints - et à l’époque dédaignés par le gratin mondain, jamais en retard d’une ineptie. Cette peinture des maîtres, il a fait le tour du monde pour la savourer et en percer quelques secrets, la profondeur, le fondu de la touche, l’iridescence moirée des couleurs.
Jean-François Galey Sand peint des scènes de genre universelles et qui pourtant racontent sa vie. Des instantanés, parfois de format polaroïd, qui sont les pages d’un journal intime et qui le restera. S’il s’avait écrire, il ne peindrait peut-être pas. Mais beaucoup d’épisodes de la vie étant indicibles, c’est une bénédiction d’évoquer sans décrire.
Jean-Francois Galey-Sand paints a past that does not pass, with an outdated elegance and a fine and often teasing spirit, and infinitely sensuality. This painful past whose incurable wound we secretly caress every day, which we love at its true value because it makes survive a part of what was, or more often, of what could have happened if beings were not not so shy and bent on wasting their lives. Of course these things are silenced, sometimes forever. But their dark force permeates everyday life like a photographic negative superimposed on supposedly cheerful and colorful scenes. But it's not sad. Rather stoic: no hope, not to suffer anymore, because it's over anyway, unrecoverable and accepted as such. We don't know if Beauty will save the world, but Jean-François Galey Sand has decided that she will save his own. As it is. And this lucidity is beautiful, in itself. As a young artist, he was abstract, presented in 1986 at the Fiac. A must. But his heart was elsewhere, in the half-light of the Museums of Fine Arts where old painting threw its extinguished fires - and at the time disdained by the socialite gratin, never late for ineptitude. He has traveled around the world to savor this painting by the masters and unravel some of its secrets, the depth, the melting of the brushstrokes, the shimmering iridescence of the colors. Jean-François Galey Sand paints universal genre scenes that nevertheless tell the story of his life. Snapshots, sometimes in Polaroid format, which are the pages of a diary and will remain so. If he had written himself, he would perhaps not paint. But many episodes of life being unspeakable, it is a blessing to evoke without describing.
Cecile Dufay @galeriec.dufay
" La vie est ailleurs" a titré Kundera. Jean François Galey-Sand abolit les frontières, assimile le hors champ. Ses très petits formats s’étirent, agrandissant notre perception, nous offrant la possibilité d’un ailleurs.
“Life is elsewhere” headlined Kundera. Jean François Galey-Sand abolishes borders, assimilates the offscreen. Its very small formats are stretching, expanding our perception, offering us the possibility of an elsewhere.
Officiel Galeries & Musées
Lou Carter Septembre 2023
Lou Carter Gallery
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